Ingénieur diplômé de l’institut d’optique théorique et appliquée

La principale voie d’entrée en première année du cycle ingénieur de l'école se fait par le concours commun Centrale-Supélec après les classes préparatoires aux Grandes Écoles sur les filières MP, MPI, PC, PSI, PT et TSI. Des places sont également ouvertes au concours international et au cycle international du concours. La deuxième voie d’entrée se fait après un cursus universitaire selon une des trois procédures suivantes. - Recrutement spécifique IOGS : Cette procédure ouverte à tout candidat ayant validé 120 ECTS en physique permet une entrée en première année. Sont notamment concernés les candidats issus de BUT 2ème et 3ème année avec ou sans ATS, de L2, de L3 et de TPC. Pour les candidats issus de BTS il est fortement recommandé d’avoir une formation complémentaire (prépa ATS par exemple). Les candidats possédant 180 ECTS en physique (niveau M1) peuvent intégrer la deuxième année. Cette procédure comprend également deux programmes spéciaux : * Convention avec l'Institut Villebon-Charpak (IVC) de Paris-Saclay : admission facilitée en première année pour les candidats recommandés par les enseignants de l'IVC. * Convention avec Télécom Saint-Étienne : admission facilitée pour les titulaires du Diplôme Universitaire CITISE (Cycle Initial de Télécom Saint-Étienne) au niveau L2. - Procédure mutualisée GEI-UNIV : Gérée par le GIP Concours Commun Mines-Ponts, cette procédure concerne 15 écoles d'ingénieurs et accepte des candidats issus de parcours universitaires en L3 (première année) et en M1 (deuxième année). - Procédure « passerelle » : Cette procédure s'adresse aux étudiants de l'Université Paris-Saclay en 2ème et 3ème année de Licence Double Diplôme Mathématiques, Physique et Sciences de l'Ingénieur (campus d'Orsay et UVSQ) et aux étudiants en 2ème et 3ème année de la Licence Double Diplôme Physique et Chimie.

Le diplôme de l’Institut d’Optique Graduate School certifie des ingénieurs capables de concevoir et d’inventer des systèmes utilisant les sciences et les technologies de la lumière. Cette certification répond aux besoins du monde industriel et de la recherche en optique et photonique. L’optique et la photonique sont aujourd’hui omniprésentes dans les technologies matérielles de fabrication, dans les systèmes, dans les méthodes de mesure et sont d...

L’Ingénieur SupOptique peut exercer un large spectre de fonctions : ingénieur d'étude, de recherche et/ou de développement, ingénieur système, ingénieur brevet, ingénieur marketing ou technico-commercial, entrepreneur dans des champs disciplinaires variés généralement avec une forte composante scientifique et technologique. Il peut être amené à évoluer rapidement vers des emplois de management : responsable technique, chef de projet, chef de département ou de service, dirigeant d'entreprise. Il peut également avoir accès aux métier de chercheur ou enseignant-chercheur après 3 années d’études supplémentaires en doctorat.

Les secteurs d’activités des ingénieur·es SupOptique couvrent un très large spectre. En particulier, les principaux secteurs sont les suivants : défense, spatial, technologies des télécommunications, technologies de l’information et de l’image, énergie et environnement, santé, transport, audit et conseil, recherche scientifique et enseignement supérieur.